Dans la plupart des rodéos, les épreuves de la journée se poursuivent, le soir venu, avec la « Chuckwagon Race », course spectaculaire chère aux amateurs de tradition et d’émotion. Priorité à l’expérience plutôt qu’à la jeunesse. Il faut en effet une sacrée bouteille pour driver au grand galop quatre ou six chevaux attelés à la flèche d’une carriole à l’ancienne, emportant comme jadis le lourd fourneau des conquérants de l’Ouest.
Dans la plupart des rodéos, les épreuves de la journée se poursuivent, le soir venu, par les « Chuckwagon Races » chères aux amateurs de tradition et d’émotion. Priorité à l’expérience plutôt qu’à la jeunesse. Il faut en effet une sacrée bouteille pour driver au grand galop quatre ou six chevaux attelés à la flèche d’une roulotte à l’ancienne, emportant comme jadis le lourds fourneau des conquérants de l’Ouest.
Précédant le grand rendez-vous du Stampede de Calgary, plusieurs bourgades organisent leurs propres Chuckwagon Races, auxquelles participent la plupart des champions.
Après Calgary, cap sur le sud, rendez-vous à Cheyenne.
La route sera longue: plus de 1.200 kilomètres que les chevaux parcourront à bord de leur propre « char ».
Attente rituelle à la frontière entre Canada et Etats-Unis, le temps d’interminables contrôles vétérinaires.
Cette fois, pas de doute, nous sommes aux States…
Encore quelques heures avant la courte pause nocturne…
Dans la caravane familiale, Orville Strandquist et son petit-fils.
Bienvenue au Wyoming, patrie historique du rodéo.
Accueil en musique. Demain soir déjà, début des bourses.
Les Frontier Days de Cheyenne sont surnommés « Daddy of ’em all », l’ancêtre de tous les autres.
Lire le reportage complet réalisé à cette occasion par Alex Décotte…